Lundi 30 juin 2008 à 17:01


Si tu veux le revoir vivant, tu sais ce qu'il te reste à faire.
Signé : Anonyme.

P.S : Ne me déçois pas. Ou ma vengeance sera terriiiiiiiiiiible ( Comme The Dead Terrorist, tu as vu ? ^^)

Samedi 28 juin 2008 à 13:15

Pour la Sandrou ça sera Peter (Le Magnifique)



Pour moi ça sera Caspian,



 Sirius, 



Caleb, 



et Edward


[on n'a jamais trop de maris]

Sans oublier tous mes 10 amants : Pogue, Remus, James, Doug, Draco, Peter, Jasper, Mister T, et Ben

CHECK THE GATE !!!



(Jamais je n'irais à L'azile ! Compris Sandrou ? JAMAIS ! )

Dimanche 25 mai 2008 à 12:18

Voici, l'unique, la magnifique, la merveilleuse...
CHATON MASQUÉ !

             Bizarrement, c'est toujours pareil, quand il pleut à mon réveil. Je reste une dizaine de minutes dans mon lit, et je me revois, quand j'étais toute petite. Je devais avoir cinq ou six ans, et j'étais chez mes grands parents. Dans la salle à manger. Mamita avait installé ma petite table en bois, avec ma chaise en plastique, et j'avais mon livre de coloriage. La lumière était allumée, et je crois me souvenir que Mam', et D. discutaient avec Papou. Et il pleuvait ce jour là. Des cordes, et des cordes...

CLICK

P.S : Pour ceux qui se demandent ce que le Chaton Masqué vient faire ici, c'est pas dur : une envie soudaine. Voilà. Hep', la proprio du blog, m'en veux pas, mais l'espace de ton blog a encore doublé pour les deux ans, alors, j'peux bien venir squatter hein ! ^^

Vendredi 15 février 2008 à 17:30

Je n'ai pas compté, ni les jours, ni les heures, encore moins les minutes, mais je sais que jeudi, à l'heure où j'ai l'habitude de me réveiller, un kiwi de Miramas sera dans ma ville. Et ben vous savez quoi ? Moi j'dis, "Y a bon la socca" !

De, Miss.K.Story, le vendredi 15 février 2008, à 17.30.19

Jeudi 23 août 2007 à 12:52

Alors qu'il est présentement 12.03, et que nous nous retrouvons à un peu plus de deux semaines de la venue de la madame Sandra proprio du blog, bien qu'elle ait un loyer à payer pour y être – chez moi, dans ma belle contrée de Saint Laurent Du Var. Donc, pendant que cette même madame fait son résumé chez moi, je squatte un peu ici, pour y faire le mien.

 

Oui, donc, Sandra est venue passer une semaine chez moi. Tout commence, le lundi. Seize heures quarante deux, la Sandraquitte MSN. Effervescence chez moi. J'appelle Tapenade, alias Manon. On attend un moment, puis Beau-Père nous dit qu'on y va. Dix neuf heures. Sur la route pour aller à la gare d'Antibes, je reçois divers SMS de Sandra, sur toutes les gares où elle s'arrête. Sandra, ou comment inonder la boite de réception des gens… Allons bon.

Dix neuf heures quarante. Arrivée à la gare. Dix minutes à délirer sur un vieux vélo moisi avec Manon. La photo arrivera, si elle peut ^^.

Finalement, on tourne en rond dans la gare. On attend de voir arriver le train en provenance de Marseille – d'ailleurs qui n'était pas écrit sur le tableau d'affichage – tout en papotant, et en riant. Vingt heures, « Le train en provenance de Marseille entre en voie un ». Petits bonds, et cri « C'est celui làààà ». On se précipite vers la porte, juste à temps lorsque Sandra m'appelle. Elle est perdue, ne sait pas où elle est, et m'entends mal dans le téléphone – environ cinq mètres nous séparent et il y a du monde. Je l'aperçois, grâce à son haut orange vif, et son pantalon blanc. A grand renfort de signes, et de cris, elle finit par comprendre et passe par le souterrain pour nous rejoindre. On l'attend, et Manon décide de se reconvertir en portier. Voilà, Sandra viens d'entrer et elle est face à nous, avec son sac-valise rouge.

Première chose que l'on apprend sur Miramas : c'est trois bises. I-llo-gi-que. Deux chez nous, ça commençait fort ! On l'emmène jusqu'au 4x4 de Beau-Père qui est garé sur un trottoir. Mettage du sac dans le coffre, montage dans la voiture, présentage et compagnie, et démarrage. En avant vers chez nous. Sandra observe les décors, vois la mer, et nous on papote.

 

Vingt heures trente, arrivée in Sarah's House. Tadam. Repérage des lieux, Sandra pose son sac dans ma chambre bleue, et dégustation des spaghettis. Sandra apprend comment ça se passe chez nous : tout le monde se sert comme il veut, et pouf pouf, c'est parti. La soirée continue tout doucement, La Madame repère bien les lieux, et Manon reste avec nous jusque assez tard.

Coucher cette nuit là : deux heures.

 
 

Le mardi, réveil difficile pour moi. Sandra me réveille à coups de chatouilles dans le cou, m'obligeant à me cacher sous ma couette. La vie est dure. Finalement, je me lève. Une journée de farniente totale, après un petit déjeuner composé de biscuits. Piscine, sims, et autres joyeusetés sont de la partie. Le soir, anniversaire du chien oblige, Monsieur Obelix gagne une tartelette aux fraises et des mini-saucissons. Et le soir arrivé, Sandra va se mettre en pyjama, et m'annonce qu'elle a grillé dans le dos. Pauvre petite Sandra toute rouge et pelante.

 

Mercredi, c'est réveil made in Obelix. C'est à dire, museau dans la figure. Joie ! Lorsque l'on se lève, Papou (grand père) est déjà là. Il propose de nous emmener à la plage. On accepte, et on appelle Manon qui vient donc avec nous. Finalement, nous sommes prêtes, et vers dix heures nous sommes installées sur les galets.

[ Sandra : Manon, il est quelle heure ?
Manon (très sure d'elle) : Quatre heures ! […] Ah non, c'est dix heures, j'ai cru que…]

 
Baignade, dans l'eau, pas trop froide, mais un peu quand même. Au final, on ressort et on va tranquillement sécher sur nos serviettes (et je squatte celle de Papou d'ailleurs). Au bout d'un moment, la faim se fait sentir, et Papou nous propose d'aller acheter des trucs à manger à Cap. On répond que l'on ira plus tard. Un gars – bronzé, brun, à priori pas trop mal (avouez que vous n'avez pas pensé ça au début les filles) – nous propose d'aller nous baigner avec sa cousine. Présentation faite, L. et C. (cousin and cousine) nous emmènent jusqu'aux rochers de la digue.

[L. : Mais vous êtes des touristes ?]

Un moment après, nous retournons sécher sur nos fidèles serviettes de bain. Cette fois, on accepte d'aller au cap grignoter un bout. Nous nous rhabillons, et L. ainsi que sa cousine viennent demander nos numéros. Je suis la seule à le donner (naïve, vous avez dit ?). Puis, nous filons. Glace au Nutella pour Sandra, crêpe au Nutella pour Manon, Panini au Nutella pour moi. Retour à la maison. Après midi piscine.


Et puis, l'appel de L. Ouhou. Rendez-vous à la mairie. Après midi complète avec ce gars, et ses blagues bidon. Je ne m'étends pas là-dessus, même si au final, on s'est bien marrées.

[Sandra : Enfin !]

Retour à la maison. Soirée normale par la suite.


Jeudi, réveil par l'appel de Manon. Journée de totale farniente. Piscine, piscine, piscine.

Vendredi, réveil by Manon de renouveau. Matinée tranquille. Après midi, service demandé par la Mère : apporter le loyer à l'agence. Sandra et moi en profitons pour nous balader sur l'avenue Général De Gaulle. Et, au passage aller faire un petit coucou aux grands parents. On passe un petit moment chez eux, durant lequel, Mamita (grand-mère) nous demande quinze fois si on ne veut pas boire un truc. Vive Mamita ! Au final, on traverse la route, et allons chez la boulangère, où Sandra mange un palmier et moi un éclair au chocolat sur la terrasse.

La fin de la journée ? Piscine For Ever.

Vendredi soir, marché de nuit à Nice. Ma Nolan's un peu, puis balade dans Nice. Dégustation d'une socca sur les marches d'un théatre, et photos sur la Promenade, où des pros du roller se pavanaient.

Petit passage chez Fenocchio, où ma glace a fondu entre mes mains me laissant collante pour le reste de la soirée. Et oui, même les lingettes Monsieur Propre ne m'ont pas aidée.

Samedi, c'est Saint Paul De Vence. Enfin, l'après midi. Visite de ce petit village d'artiste. Puis, squattage à la terrasse d'un café où ils ne servaient que du Pepsi, et regardage des gens qui jouent à la pétanque. Un mariage ce jour là, et les gens descendaient la pente, tous bien habillés. Une grosse voiture s'y est reprise à trois fois pour le virage.

 
Dimanche, c'est marché. Enfin, le matin. Marché de Saint Laurent du Var. On peu trouver de la bonne socca. Sandra a acheté de l'encens pour sa mère. Je n'avais plus vraiment d'argent. Et j'ai bu un taillefine fizz à la pêche.

L'après midi, farniente encore et toujours.

 
Puis, Lundi matin, shopping au cap 3000, avec Maggy et Manon. A quatre dans le photomaton, les photos ne ressemblaient pas à grand-chose mais pourquoi pas !


















Et voilà, l'après midi est passé vite. Très vite. Trop vite. A seize heures il a fallut ramener Sandra à la gare. La gare où nous avons attendu le train, pendant un petit moment, tout en grillant allègrement sur les bancs de la SNCF.

Et puis, au final, un vieux train tout pourri est venu nous prendre Sandra. On l'a regardée partir, avant de nous même repartir vers Saint Laurent du Var.

Aur'vouar Sandrou. Qui s'est plantée de classe dans le train ^^

 

En conclusion, deux semaines plus tard, j'ai un peu de mal à re situer les jours, mais je reste vraiment très contente de la venue de la Marseillaise.

Secret pour tous ses fans : elle écrit très bizarrement la p'tite Sandrou !

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