Mardi 2 décembre 2008 à 19:05

PARIS

Nos 24 heures
5ème partie


Maaaagnifique !
PARIS LA NUIT, c'est tout ce qu'il y a de plus beau !

Nous avons vu la grande roue illuminée, les Champs-Elysées (dans lesquels nous nous ne sommes pas engagés, car même la nuit, c'est bouchonné), les arbres décorés, la Tour Eiffel si discrète dans ses illuminations bleues (elle n'as pas très envie de se montrer la nuit, la Tour Eiffel...).
On a vu Maxim's, l'un des resto les plus chers de Paris, la Tour Montparnasse en deux deux (et je l'ai dit qu'on avait vu la Colonne Vendôme ?), et on est passés par Saint-Germain...
http://img186.imageshack.us/img186/7844/lnolympia013nz4.jpg
MALO : Auuux Champs-Elysées, palalalala, auuuuuuux Champs-Elysées, palalalalala ! Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit, il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées ! Ouais y'a tout ce qu'on veut, mais c'est un peu cher !

Arrivée chez Nelly, on se met en pyjama, on reparle de l'Olympia, de Paris, on regarde nos trésors : mon Parigot, le programme du concert d'Hélène Ségara de Malo, on mange les tuiles au chocolat qui nous avaient été distribuées (enfin...ce qu'il en restait XD), on rigole bien.

http://img296.imageshack.us/img296/4622/img0060cm6.jpg
 
Et puis on s'endort. Malo avec son T-Shirt Hélène. Moi, avec Jazz et Parigot.
Au réveil, je croise les yeux ouverts de Malo, tournés vers moi.
Jazz se cache encore sous la couette. Parigot, quant à lui, décide d'émerger.

MALO :
Hey, t'as dormi avec lui [Parigot] ?!!
SANDROU : Ben oui, tu pensais pas que j'allais rater cette occasion quand même ?

Il est tout doux Parigot, en plus.

Le matin, après nos toilettes, on va dans la cuisine papoter avec le Tonton à Malo. Pendant ce temps, ma mère essaie de me joindre et appelle Malo pour que je l'aide à manipuler mon ordinateur. Je stresse : ma mère va sans doute trifouiller partout sur mon PC (et accessoirement, tout détraquer...)...

Pendant que Malo et son Tonton parlent, je m'apperçois d'un truc. Dehors, des milliers de points blancs défilent en vitesse dans l'air.
Il neige ! Ce sont des flocons énormes. C'est magnifique.

Mais c'est l'heure de partir...on finit donc par s'en aller à regrets. On dit au revoir à tout le monde et on se rend direction Gare de Lyon sous la neige.
On prend la voiture, le RER et le métro.
On aperçoit le Panthéon. On passe devant Bercy : on voit son ministère de l'Intérieur, sa salle de spectacle, et la Bibliothèque Nationale de France.

SANDROU *éblouie par la Grande Bibli - que dis-je, l'IMMENSE Bibli* : Ooooh...je meurs. Il faut que j'y aille...T_T

Arrivées à la Gare de Lyon, on cherche notre TGV.
On le trouve. On cherche notre "voiture 7", et on revient sur nos pas en se rendant compte que c'est la dernière du train. (Dois-je vous rappeler la longueur d'un TGV ?).

On se place. Je suis encore devant la fenêtre, grâce au Pari.
Ma pauvre Malo a dû me supporter avec mon organisation : se lever, me laisser passer, se rasseoir, se relever parce que je revenais, me laisser à nouveau passer, et rebelotte parce que j'avais oublié quelque chose dans mon sac (posé sur le porte-bagage à l'entrée de la "voiture")... Pauvre Malo...qu'est-ce que je suis chiante quand je m'y mets !

Après avoir dit au revoir à Nelly, le TGV est parti...et on était dégoûtées.

Lundi 1er décembre 2008 à 19:10

PARIS

Nos 24 heures
4ème partie


Faute d'activité, nous avons attendu pendant plus d'une heure et demi devant l'Olympia, en dépit de nos petons gelés...
C'est dingue ça...les gens te poussent, te marchent sur les pieds...alors qu'il y a des places numérotées réservées à l'avance !
http://img529.imageshack.us/img529/9223/lnolympia006rf6.jpg

Malo cherche sa Poussinette. Celle-ci est prise dans les bouchons, ce qui retarde leur rencontre.
J'essaie de me trouver un ami mais COMME PAR HASARD tout le monde est sur répondeur : Shishoune, ma mère, Bébou... Il n'y a que mon fidèle Romain que j'arrive à contacter et qui me dit :

ROMAIN :
Salut. Pourquoi t'appelles ?

Un amour.
Estelle finit par arriver, et Malo disparait pour aller la retrouver (je ne la suis pas...par respect pour mes pieds qui n'ont pas envie d'être broyés).
Les grilles s'ouvrent, et Adeline, sa mère et moi passont au rouleau-compresseur.

SANDROU : MAIS ARRÊTEZ DE POUSSER BORDEL ! ELLES VONT PAS S'ENVOLER VOS PLACES !

Ensuite, contrôle. C'est-à-dire : des mecs vérifient si t'es pas flingué (on sait jamais au cas où tu voudrais descendre Hélène Ségara). Et aussi, au cas où tu voudrais assomer l'artiste avec ton appareil-photo.

CONTRÔLEUR : Vous avez un appareil-photo ?
SANDROU : Non, mais j'ai un téléphone.
CONTRÔLEUR : Eteignez-le.

En fait, mon appareil-photo était dans le sac de Malo. Et Malo avait planqué le sien dans sa botte. Astucieux, n'est-ce pas ? Le plan est prévu depuis plus d'un an.

Bref, on nous a pris aucun "matériel". Pendant qu'Adeline faisait ses achats à la Boutique (quel ramasse-sous, je vous raconte pas), je réceptionne Malo et sa Poussinnette (3 bises chez nous, Mamouazelle).

On se sépare à l'entrée de la salle. Estelle est "en-dessous", Malo et moi "en haut", au deuxième rang de la Mezzanine.
Nous sommes assises à côté, contrairement à ce que l'on croyait (j'étais place 26, Malo place 24, et nous étions persuadée de la place 25...j'avais donc prévu de virer la fille de l'existence de la place 25, pour être assise à côté de Malo). Stratagème inutile, car la place 25 n'existait pas de ce côté de la Mezza', et la pseudo place 25 était Adeline (mais elle était place 28), donc j'étais entre Adeline et Malo, et donc, je n'ai pas eu à virer Adeline de la place 25 si elle existait (car Adeline aurait été entre Malo et moi). Vous suivez ?
 
http://img56.imageshack.us/img56/42/photos0008je6.jpg

Je mange mes sandwichs, et je continue mes interviews sous l'oeil des Vigiles. Le spectacle commence avec Victoria, celle qui chante dans le Roi-Soleil. Avec Malo, on a pris soin d'enlever nos flashs et faisceaux lumineux de nos appareils pour prendre des photos sans gêner les artistes.

Sauf qu'à cause d'un GROS CON derrière nous, qui avait laissé son PUTAIN DE FLASH, le Vigile a cru que c'était nous les photographes flasheurs et nous a demandé d'arrêter nos activités ! (Va brûler en Enfer, suppôt de Satan, tu n'es pas au courant qu'Adeline a enregistré tout le spectacle dans ton dos XD !).

VICTORIA :
Ouuuuuuuuuuh...
MALO & SANDROU : Lalalalalala ! Ca marche, bras dessus et bras dessous, ça marche, l'un sur l'autre dans la boue, ça marche...

(NB : Je suis en train de réaliser un montage vidéo, et il y a une séquence où nous chantons "Ca marche"...j'hésite à la mettre rien qu'en attendant ma voix qui fait pleiiin de fausses notes...)

Après Victoria, une voix-off nous annonce :

OLYMPIA : L'Olympia vous offre 20 minutes d'entracte.

Tu parles d'un cadeau ! Un rideau rouge authentique tombe sur la scène. Malo et moi sommes en pleine réflexion philosophique : on a du mal à s'imaginer qu'Edith Piaf se soit produite ici (et qu'ils aient tourné La Môme avec Marion Cotillard ici aussi...).

On notera au passage que les sièges de l'Oympia sont très inconfortables et très rapprochés (ce qui n'empêchait pas le fait qu'on était très bien placées). Le spectacle reprend, avec une mise en scène plutôt surprenante : un sofa, une sorte de sphère élevée qui montre des vidéos de la Terre (et tout, et tout, et tout...).

Pour ce spectacle, Hélène Ségara a décidé de voyager (et de nous amener avec elle, quand même, au prix qu'on a payé la place !!!). Elle a chanté quelques chansons de son nouvel album (qui n'entraient pas vraiment dans mon genre musical, pour être honnête), elle a fait un retour sur ses débuts et nous a chantés des chansons de la comédie musicale Notre-Dame de Paris (ça, j'ai ADORE !). Elle a refait totalement la musique de ses grands classiques dans un style oriental. Elle a chanté en français, anglais, italien, arabe, arménien... Et elle-même était habillée comme une bohémienne.

Nous avons eu le grand plaisir d'entendre et de voir Patrick Fiori (chanter Vivo per lei avec elle) et Julie Zenatti. (Pfff, ces stars se déplacent toujours à l'Olympia mais jamais ailleurs hein !).

Enfin, elle nous a chantés une chanson inédite, qu'elle avait écrite "devant les infos, comme tout le monde". Elle nous a montré son inquiétude par rapport à l'avenir de la Terre, l'injustice dans les pays, les carnages, tout ce que les médias ne veulent pas nous dire, et son impuissance devant tous ces évènements. J'ai même failli pleurer, tant elle souffrait (ça s'entendait dans sa voix).

Bref, on l'aura compris, c'était un très beau spectacle.
À la fin, la rose de Malo commençait à se faner. Nous sommes sorties, nous avons attendu Estelle ; on a un peu papoté, beaucoup rigolé (je la connais pas, mais c'est une fille bien, cette Estelle).

J'ai pris des photos des deux amies... Malo m'a tenue responsable du "ratage" des photos, mais elle n'a pas encore compris que c'est son appareil -photo qui n'est pas performant. :p (Parce qu'avec l'appareil d'Estelle, mes photos étaient très bien réussies !). ;) La preuve en image : c'est de l'art !
 
http://img56.imageshack.us/img56/9634/dscf0003hf3.jpg
On a quitté Adeline et Estelle après de groooos bisous (3 bises, les filles, chez nous), et nous sommes parties mélancoliques avec Nelly et le Tonton à Malo...faire Paris la nuit en voiture !
 

Jeudi 27 novembre 2008 à 21:45

PARIS

Nos 24 heures
3ème partie

Nous sommes revenues sur nos pas, passées encore une fois devant l'Olympia (en réalité, nous sommes passées toutes les heures devant l'Olympia...), parce que Malo désirait acheter une rose pour Hélène, et que je voulais prendre une photo du temple de la Madeleine.

http://img444.imageshack.us/img444/4074/img0023qv8.jpg
La nuit commençant à tomber, c'est avec les mains glacées que nous avons photographié la façade de l'Olympia.
On refait le chemin en sens inverse (quand je dis qu'on l'a fait 20 fois !) et nous sommes allées trouver Adeline, une mystérieuse inconnue avec qui Malo avait échangé 2 mails (noooon, on a pas peuuur, noooon).
Ce ne fut pas une mince affaire de trouver la Demouazelle et son Opéra-Café... Nous avons traversé tous les passages piétons de la place de l'Opéra pour revenir encore sur nos pas.

Petite parenthèse... Nous avons pu constater par ailleurs que les Parisiens n'attendent pas toujours que le bonhomme passe au vert pour traverser. Alors du coup, on a testé le phénomène, et c'est garantie riche en sensation.

MALO : SANDROU ! VIIIIITEUH ! COUUUUUURS !
SANDROU : VIIIIIIIITE !

De même quand le bonhomme passe au vert, et que cet évènement dure peu longtemps.

MALO : SANDROU C'EST VEEEEERT !
SANDROU : VIIIIITEUH ! PITINPITINPITINPITIN !

(Note bene : il y a des risques d'écrasement...j'ai bien failli y laisser ma peau une fois...)

Nous avons mis une heure pour trouver l'Opéra Café (qu'on a confondu avec le Café Opéra) et Adeline.
Les gens petits seront ravis d'apprendre qu'ils peuvent voir le panneau de la rue Auber contrairement aux grands, panneau qui est pourtant haut placé.
Grâce à moi donc, la plus petite (aïe Malo, pas taper, pas taper), nous avons pu rencontré Adeline dans ce fameux café.

Nous étions gelées car OUI, à PARIS, on se CAILLE !
Nos corps s'étaient peu à peu frigorifiés dans l'aprés-midi, et les gants, écharpes, doudounes, pulls et gilets n'avaient pu rien changé.

Malo tient d'ailleurs à préciser qu'elle ne sentait plus ses pieds.
Nous sommes restées deux heures dans ce café, assises dans un coin inconfortable, et à faire connaissance avec Adeline.
Malo a bu sa grenadine (4, 50 euros), et je me suis enfilée un chocolat très chaud avec de la mousse (4,50 euros aussi), accompagné d'échantillons gratuits de tuiles au chocolat LU qu'on nous avait distribué dans la rue. (J'avoue que c'est chouette d'être à Paris au moment où ils offrent de quoi manger dans les rues...Eo ! de LU, c'est pas mauvais, et j'aime jouer les cobayes gastronomiques).

http://laptitesandrou.cowblog.fr/images/eodelu.jpg
Après cela, nous avons remonté la rue Auber, car je voulais acheter des souvenirs... Suite à l'insistance d'un gars d'une boutique, j'ai embarqué une petite peluche pour 15 euros (pureeeeeer, tout est trop cher dans cette ville ! en plus, le nounours est MADE IN CHINA !), que j'ai fièrement baptisé "PARIGOT" (c'est très affectueux comme nom, je trouve).

Nous avons ensuite cherché des sandwichs et refait le boulevard des Capucines deux fois dans tous les sens...

Hey, quand je dis que nous connaissons le Neuvième par coeur...c'était pas une blague !

Mercredi 26 novembre 2008 à 21:50

PARIS

Nos 24 heures
2ème partie

Franchement, c'est génial.
On n'est pas encore victimes du froid glacial parisien , les gens à côté de nous sont pressés (des Parisiens, des vrais !), on voit des Japonais et des accros du shopping ! C'est génial !

En toute honnêteté, le neuvième est vraiment un coin très "cool" (bizarre, j'aurais jamais pensé...).
Malo cherche l'Olympia, et il se trouve qu'il est juste là. Un mec sur une échelle est en train de peaufiner le nom en lettres rouges du spectacle auquel nous allons assister le soir même : Hélène Ségara, Un tour de la Terre.

Nous sommes ensuite allées manger au MacDo, un Macdo parisien sur trois étages ! Puis Nelly nous a fait prendre la place de l'Opéra et nous a conduit aux Galeries Lafayette.

C'est tout simplement magnifique. Les vitrines de Noël sont merveilleuses et les enfants ont le nez collé contre les vitres. À l'intérieur, au rez-de-chaussée, des centaines de stand de grandes marques : Chanel, Versace, Dior, Yves Saint-Laurent. Ca sent le parfum et la cosmétique. Et ça grouille de Japonais.

http://img255.imageshack.us/img255/4848/lnolympia001jq3.jpg

Au-dessus de nos têtes : un immense et magnifique sapin de Noël, dont la hauteur équivaut les 7 étages des Galeries Lafayette.
Avec Malo, on gravit les six étages par escalator (pas le dernier, parce qu'il n'y a que des escaliers). On ne s'arrête presque pas, nous évitons de nous enfoncer dans les rayons.

Les seuls mots : "Légo Tour Eiffel : 210 euros", "Nounours Paris : 35 euros" nous dissuadent de nous attarder.

Les boîtes de chocolats Maxim's sont hors de prix (sacrilège, j'en avais très envie !), et nous n'avons même pas regardé les prix du côté des "vêtements créateurs de mode".

Bref, les Galeries Lafayette, c'était bien beau...c'est parfait comme rêve.

À peine sorties, je réclame l'Opéra Garnier, l'inévitable.
Malo me propose donc de me prendre en photo devant l'Opéra. Pour cela, Mamouazelle traverse la rue, normal, vise avec le zoom, s'apprête à appuyer sur le bouton de l'appareil et...un bus stationne devant elle.
Nous perdons le contact visuel, alors nous établissons un contact téléphonique.
On était mortes de rire.

La sitation se rétablit à peu près lorsque le bus s'en va deux minutes plus tard...pour laisser place à deux autres bus.

Bon. On comprendra que la photo n'a pas pu se faire.
  http://img255.imageshack.us/img255/8576/montageoestsandrouyw0.jpg

Lundi 24 novembre 2008 à 18:48

PARIS

Nos 24 heures
1ère partie

http://laptitesandrou.cowblog.fr/images/Photos0007.jpg
Malo n'est jamais en retard. Elle était bien là à 7h45 devant chez elle, armée de son grand sac à main et d'un sac à dos (ce qui n'était pas mon cas, avec mon énorme sac de voyage...).

Mistral sur Miramas. On se caille sur le quai de la gare. Mais on ne se plaint pas : à Paris, ce sera pire.
Un TER pourri nous amène à Marseille (je les attire décidément, les TER pourris, je vous jure...). Malo est restée 40 minutes avec son billet de train dans la main, dans l'espoir que le contrôleur vienne nous pointer. Bien sûr, il n'est pas venu. Au moins, elle a eu la main occupée pendant le voyage.

Arrivée à Marseille Saint-Charles, la gare ouverte où le vent rentre un peu comme il en a envie.
On se caille. On se plaint un peu mais pas trop : à Paris, ce sera pire.

Je bataille avec un distributeur de gourmandises, et si Malo ne m'avait pas aidée, on aurait toujours pas mangé nos Kinder Buenp (notez qu'il nous arrive toujours des emmerdes avec les Kinder Bueno...).

Nous avons attendu une demi-heure pour connaître le quai du TGV. À peine il est annoncé qu'un énooorme troupeau se détache des "usagers", et nous décidons de le suivre jusqu'à notre train. Le souci avec les TGV, c'est qu'ils font 3km de long... Alors quand on vous dit que vous êtes dans la "voiture 16"...allez-y, hein, jusqu'à la voiture 16... Ca fait un peu comme le marathon...

N'empêche, nous voilà installées. Côté couloir pour Malo...côté fenêtre pour moi (on reconnait ici la gagnante du pari...).

Et c'est parti ! Pendant les trois heures et demi de TGV, Malo essaie d'écrire une lettre à Hélène Ségara, je tente de mon côté de faire mes devoirs, d'écrire (en vain), nous écoutons de la musique, nous filmons, nous mangeons, je me plains de l'eau pétillante que m'a donné ma mère (je HAIS l'eau pétillante) et Malo fait une blague à sa Poussinette (Estelle) qui tourne au vinaigre.

Au fur et à mesure que le TGV monte dans le Grand Nord, les cumulus apparaissent, le ciel devient gris, parfois un peu de bleu subsiste...
Puis, des bâtiments grisâtres, des murs tagués entourent le TGV qui ralentit : nous sommes à Paris-Gare de Lyon.
 
http://laptitesandrou.cowblog.fr/images/IMG0007.jpg

Le ciel n'est pas gris, mais il n'est pas bleu non plus.
Quand nous sortons du TGV, nous trouvons  la fraîcheur supportable - pour le moment, et après avoir marché 3km sur le quai (rappelez-vous la longueur du TGV...), nous cherchons Nelly, la cousine de Malo.

Quand on a réussi à la trouver, Nelly nous conduit jusqu'au métro (j'adore le métro), et plus précisément, à la ligne 14 (ma ligne préférée...). On sort à la Madeleine, et nous voilà...dans le neuvième arrondissement.
 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | Page suivante >>

Créer un podcast