Vendredi 17 décembre 2010 à 20:08

Aujourd'hui, si j'avais eu un recruteur en face de moi, je lui aurais passé le savon du siècle.
Il aurait pris pour tous les autres, et j'aurais pas fait de sentiments.

Aujourd'hui, depuis que je suis revenue de Paris II, en fait, je me suis rendue que là-haut, à Paris, ils connaissent pas les difficultés que je connais. Il y a du travail, il y a de l'offre, et même si t'es jeune dip, tu peux toujours trouver un boulot "moindre". Là-bas, la fac la plus merdique est renommée. Alors qu'une Université du Sud, qu'est-ce qu'ils en ont à frapper. Tu peux faire des efforts, répondre à des annonces à Paris et ailleurs alors que tu te trouves à des milliers de kilomètres et que tu es mobile, mais non. On ne prend même pas la peine de te répondre.

De toute manière, en France, c'est ça. Y'a Paris, et y'a la "Province".
Ca veut dire ce que ça veut dire : y'a Paris, et y'a le reste, le reste qui est de la merde.
Belle mentalité.

Tout ça pour conclure que j'ai autant de chances de trouver du boulot sur Paris que j'en ai à en trouver en Province.

Poussières de fée

Agite tes ailes

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