"Et, par un retour de joie brusque, il se mit à danser une gigue désordonnée au milieu de la pièce, une gigue où il y avait du cancan et des contorsions de matchiche, et des pirouettes de derviche tourneur, et des acrobaties de clown, et des zigzags d’ivrogne. Et il annonçait, comme des numéros de music-hall :
– La danse du prisonnier… Le chahut du captif… Fantaisie sur le cadavre d’un représentant du peuple ! La polka du chloroforme ! Le double boston des lunettes vaincues ! Ollé ! ollé ! le fandango du maître chanteur ! … Et puis la danse de l’ours ! Et puis la tyrolienne ! Laïtou, laïtou, la, la !… Allons, enfants de la patrie !… Zim, boumboum, Zim boumboum…"