Tout au long des prochains articles, les "Draguifriends" seront mis à l'honneur (comme s'ils ne l'étaient pas déjà assez xD). Pourquoi ? Pourquoi eux ? Pourquoi comme ça ? Pourquoi maintenant ?
Parce qu'il me reste deux mois à vivre avec eux, ici. Et deux mois, ça passe vite. Et je sais que sur ce blog, je conserve des souvenirs que j'enfouis au plus profond de moi-même.
Pour démarrer...
Rencontre avec les Draguifriends
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LINDA
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LINDA
Prénom : Linda.
Pseudo : Tata Linda.
Originaire de : "Cogolin City".
Raffole du : chocolat.
A déjà : fait rentrer une chauve-souris dans la Villa des Moulins.
Phrase fétiche : "Fuck off !".
Premier trip en commun : "I was shocked".
Linda est dans ma classe, mais je l'ai rencontrée à la fameuse soirée d'Élodie, celle-là même où j'ai rencontré cette "bip" de Toulousaine, ainsi que Monsieur Camille.
Linda, plus elle vous aime, plus elle vous embête. Et quand on la connaît, on sait qu'on peut discuter de choses sérieuses avec elle. Quand ça va pas, elle est là pour vous... et dans le cas contraire, Linda attache de l'importance à être là, vous aussi, auprès d'elle.
Linda a vécu comme moi des années difficiles dans ses précédents lycées ; c'est ce qui nous rapproche.
Je raffole des câlins de Linda, j'aime lui en faire aussi. On ne l'appelle pas Tata Linda pour rien. Quand ça va pas, les câlins de Tata Linda me redonnent du courage.
Avec Linda, on se tape des trips pas possibles. Il serait trop long de les lister, mais celui d'aujourd'hui n'était autre que jouer les cailleras de Draguigui :
SANDROU *grands gestes désordonnés* : YOO CHUI UNE CAILLERA DE DRAAAAAGUIIIII !
LINDA *grands gestes désordonnés* : WESH !
Ou encore les agents secrets...
SANDROU : Agent Linda, attention, ENNEMI PUBLIC NUMERO UN ! LA CONCIEEEERGE !
LINDA : Prépaaaare le flingue !
SANDROU *brandit son trieur et tire dans le vide* : Trrrrrrrrrrrtrrrrrrttrrrrrr *mitraillette*
X'D
Linda, elle est gourmande et je le sais. Je lui apporté une Chuppa Chups à la pomme cet aprém, elle était ravie.
En cours, quand on fait équipe, on casse la baraque.
Bref, Linda et moi, on est comme les deux doigts de la main.
